« Ne reste que l’Aube n’est pas uniquement une bande dessinée autour de la figure du vampire. La créature y officie comme un point d’ancrage, dardant un regard omniscient sur l’humanité. L'immortalité transpire de la première à la dernière page de l’album (...). En mettant en scène une créature qui a traversé les siècles, l’auteur met en lumière la lente déliquescence du monde. Ce faisant, il appuie l’idée que des outils comme les réseaux sociaux sont plus liberticides que libertaires.
Alors que Ne reste que l’Aube est sorti en librairie il y a quelques semaines, Thierry Murat a accepté de répondre à nos questions sur la genèse de son album et l'utilisation qu'il y fait de la figure du vampire. »
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( L'interview vampirique est à lire ici... )