CosmoSexology
En tout état de cause, il est évident que grâce à leur clitolaser thermonucléaire et leur cyprine bioélectrique luminescente, les Nymphes Plutoniennes n'ont pas froid aux yeux.
Elles ne craignent pas la testostérone de synthèse des bad boys de MégaCity. L'arrière-train toujours en open space, elles ne sont pas du genre à pleurnicher de la carlingue au moindre seXtelex des bas-niveaux de la technoZone 69.
— Dans mes carnets, écrire des fragments —
(Photo : Fashion week, Madrid / José Miró © 2019)